Cassida virdis (famille des chrysomèles)

La suite de notre périple en vidéo (enfin là, c'est plus un petit diaporama), après Iguazu, nous repartons vers le nord de l'Argentine en passant par le Paraguay. A Cuidad del Este, le passage de frontière était particulier : du côté paraguayen, ça sentait la mafia et la contre façon à plein nez, bref, c'était un peu le far-west !

Le poste de frontière, comme le reste de la ville, est un espace publicitaire à part entière.

Lonely Planet : " Originally named after the former dictator, the town struggles to shake off its reputation as one of South America’s most corrupt cities. The busy border crossing can seem intimidating, but authorities are clamping down on the human pack-horses who hump suspicious boxes across the international bridge ".

Ville de tous les trafics, il était clair qu'il ne fallait pas faire confiance aux gens, faux taxis et policiers semblaient travailler ensemble, les "vendeurs" avaient tous un côté louche... C'est une ville grouillante où l'on reste sur ses gardes.

D'ailleurs, il était plus que déconseiller de traverser le fameux pont qui sert de frontière à pied, trop dangereux, trop d'attaques ! Une fois en ville, c'est Hong-Kong sans les grattes-ciels : on y vend tout (et n'importe quoi), à tous les tarifs, aussi bien dans de grands et beaux malls que dans la rue à la sauvette.

Nous avons traversé une partie du pays, plat, vert et très rural puis visité Asunción, la capitale que nous avons trouvé très calme. Les gens étaient accueillants, mis à part les flics buveurs de maté qui voulaient emmener Hélène au commissariat si elle les prenait en photo. Ils ne rigolaient pas...

Ensuite, nous sommes repassés en Argentine et là, c'était plutôt la misère des campagnes. Cette frontière a été très difficile à trouver : il n' y avait pas de panneaux et personne ne savait où elle se trouvait ! Vous en saurez un peu plus sur cette histoire ici.

Ville de la frontière argentine du côté d'Asunción (nom oublié) bien loin des sentiers touristiques.

Les habitants se demandent ce qu'on fait là ! Par moment nous aussi...

Paraguay par olgui

Belle-Île-en-Mer, été 2011. Après quelques mouvements de contorsion pour pouvoir entrer dans une combinaison pas forcément à notre taille, nous sommes prêts. L'eau n'était pas chaude... été breton ! Le paysage sous-marin, inattendu, n'a rien à voir avec les eaux récifales des tropiques auxquelles nous sommes plus habitués pour plonger avec des bouteilles. La faune est plus discrète et moins colorée, mais cela reste très beau... on plonge dans un monde de science-fiction.

Malheureusement, prendre des photos et filmer avec peu de lumière dans une eau légerement trouble et en équilibre instable n'est pas simple... beaucoup de mes images ont été inexploitables.

Spectacle présentant de larges extraits de l’opéra King Arthur d’Henry Purcell, donnés par les élèves des classes de chant, cordes, bois, clavecin et la chorale de Sainte-Tulle, avec Hélène en chant soprano.

Cette répétition s'inscrit dans un vaste projet en partenariat avec  le chœur départemental du 04 et verra son aboutissement avec une mise en espace chorégraphique pour le début 2013.

King Arthur (Le Roi Arthur) sous-titré The British Worthy (Le preux breton) est un opéra en V actes sur un livret de John Dryen et une musique d’Henry Purcell. Il fut donné la première fois en 1691 au Dorset Garden de Londres.

C’est plus précisément un semi-opéra dans lequel les principaux personnages ne chantent pas mais sont présentés par les personnages secondaires. L’œuvre raconte la quête du roi Arthur pour retrouver sa fiancée, la princesse Emmeline, enlevée par le roi Oswald.

En prime, pour avoir une idée de ce que cela donne, une petite vidéo de qualité moyenne malheureusement... En tout cas, pour quelque chose de commencé il y a tout juste trois mois... bravo !!!

Purcell par olgui